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COP26 ?

Beaucoup de bruit pour RIEN !

Depuis Kyoto, les vieux et moins vieux croutons qui dirigent la planète donnent régulièrement l'illusion de se préoccuper du dérèglement climatique, dont on sait aujourd'hui qu'il est essentiellement d'origine anthropique.

 

En fait, ils s'en moquent  !

 

Assis sur le tas d'or que représentent pour eux les énergies fossiles, ils sont incapables d'imaginer un monde qui en serait privé.

 

Après eux, le déluge !

 

Finalement, ce comportement d'hommes médiocres et confits de vanité, n'est pas très étonnant et le salut ne viendra pas de ces politiciens drogués aux habitudes et au confort de l'ancien monde.

 

Ce qui est plus grave, c'est que les moins convaincus de la nécessité d'un changement radical du modèle économique, sont ceux qui en souffrent le plus.

Est-ce étonnant ? Pas vraiment, l'histoire montre que dans toutes les révolutions industrielles, ce sont les plus pauvres qui dans un premier temps en ont payé le prix.

 

Pourtant les exemples foisonnent qui montrent que le changement du paradigme économique en faveur d'une industrie "propre" est porteuse d'emplois et de croissance. Je l'ai montré dans les deux chapitres ci-dessous :

 

Pour une révolution industrielle - I

Pour une révolution industrielle -II

 

Ce que la France a fait pour accompagner la pandémie a coûté, selon les sources, entre 200 et 300 milliards d'euros.

Le gouvernement n'aurait pas besoin d'une somme aussi colossale pour accompagner la transition énergétique ;  en terme d'aide, d'incitations, mais surtout de formation à de nouveaux métiers.

 

L'espoir pour la planète ne viendra donc pas de cette foire aux nantis, qui, sitôt rentrés dans leurs palais présidentiels, auront oublié les belles paroles et les fausses promesses.

 

C'est aux jeunes de prendre en main leur destin. Leurs ainés sont prêts à les sacrifier sur l'autel confortable de leur train de vie actuel.